• Salut les gens!

    Avant tout, je me rends bien compte que j'ai manqué à tout signe extérieur de politesse... BONNE ANNEE! Pas très original, mais il paraît que ça se fait entre gens civilisés! Alors voilà, à tous, je vous souhaite une cheupé d'enfer, du bonheur à gogo, du boulot parce qu'il en faut bien pardis, des bons moments avec ceux que vous aimez, peu de moments avec ceux que vous n'aimez pas trop et puis de la musique, de la musique, de la musique. Ukulélé, guitare, triangle, kazoo, peu importe, mais des notes pour faire valser les coeurs et les mots!

    Voilà, ceci étant fait, grand moment pour la Ginette. Le 26 janvier, j'aurai l'honneur de jouer en première partie du CUL, collectif de ukulélé lillois . Grand moment car ce sera ma première prestation scénique (à ce moment là le lobe gauche de ma cervelle me dit: tais toi, ne fais pas de pub, chuuuuut y'aura peut être personne, ça sera mieux de se ridiculiser devant personne...) Non parce que quand j'étais petite, je faisais souvent ce rêve: j'étais sur scène, et je récitais une poésie.. Et là, le trou noir, plus rien, nada... En fait, je me demande même si ça ne m'est pas arrivé, en cours de français, pendant que je donnais la réplique à une copine sur le malade imaginaire ou une pièce du genre...

    Bref! Allez, ça va le faire, viendez si vous êtes dans le coin, ça vaut le coup, il y aura P.P.M en première partie également et puis les guss du C.U.L. valent le coup de se déplacer!! 


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  • Un message fort agréable hier trouvé sur mon myspace, de la part de Craig Robertson, THE mister ukulélé from U.S.A. La grande classe. Sur son blog Ukulelia , il a consacré un post très sympa à Ginette Machin, moi quoi! (oui oui, je me le dis pour m'en convaincre par la même occasion!). Whaou...! Il s'est amusé à m'imaginer sur scène, sous ses yeux.

    Pour découvrir l'artiste, vous pouvez aller jeter un coup d'oreille et d'oeil sur son myspace  ou bien sur son site personnel , très beau. Il a dans sa voix et dans ses harmoniques quelques vibrations à la Nick Cave, ça sonne folk, c'est bon! Voilà un exemple de ce qu'on peut faire de génial, de beau, de mélodieux au ukulélé. Tout simplement magnifique.

    Thank you Craig! 


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  • Salut à vous,
    Et non, pas de son cette fois-ci... Le temps gris et la pluie ne m'inspirent guère... C'est navrant, mais bon, c'est comme ça!
    En attendant, je me lance dans la collec' de ukulélés... Aïe! Après mon beau Flea hibiscus, qui a un son très bon il faut bien le reconnaître, il y a un nouvel arrivé chez moi. Un stagg qui ne vaut pas grand chose si ce n'est visuellement. Mais c'était le but, puisque sa place sera au mur de l'appartement! Il est mignon non? Bon, alors en fait c'est un ukulélé pour enfant qu'ils disent. Après avoir changé les cordes et resserré quelques vis, ça va un peu mieux, mais ma foi, quel désastre sonore tout de même...

    En tout cas, merci Juju, un cadeau tout mignon ;-)
    Un bon petit souvenir des Alpes du Sud! Yo!


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  • Bon ben ça y'est, comme dirait l'autre, ça c'est fait. Plus de dix ans que la Ginette Machin rêvait de traverser l'Atlantique pour aller rendre une petite visite aux cousins québécois. Visiter la belle province à la belle saison, pour savourer ce petit air de francophonie en plein milieu de l'Amérique. Pas déçue du voyage, conquise même. Des paysages magnifiques, des rencontres sympathiques, un accent tellement "cute" et l'impression bizarre d'avoir déjà fouler ces terres... On se sent bien dans cette enclave francophone aux paradoxes assumés. On se sent presque chez soi...

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    Paradoxe des Québécois... D'un côté une langue, chérie bien plus que nous en France, défendue bec et ongle il y a quelques décennies et présente partout dans la ville de Montréal. Avec quelques incongruités pour nous Français: les panneaux "arrêt" remplacent nos "stop", les affichages "sorties" prennent place où nous affichons sans complexe "exit" etc, etc. Et puis il y a le parler québécois, les allusions infinies à l'anglais, les traductions qui nous font sourire: "un thé régulier", traduction du "regular" anglais, une "envolée" pour un vol en avion, etc, etc.

    On se dit qu'on doit bien les faire rire avec notre accent de français "coincé", qui parle sans rien laisser dépasser, sans la bonhomie et la jovialité des "bonsouôôôr" et des "bin bons". Pour résumer, une tête de con sera toujours une tête de con au Québec, mais on a l'impression qu'on pourrait presque lui pardonner d'être "niaiseux"...

    Pepe et sa guitare

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    Il a une bonne bouille non? C'est la découverte québécoise du séjour! Avant de partir, je me suis dit:" tiens, y'a-t-il des joueurs de ukulélé à Montréal. Je tombe sur le site du bonhomme, guitariste de son état mais tombé amoureux du ukulélé lors d'un voyage à Hawaï (plus cliché, tu meurs!). Le hasard est parfois bien sympa puisque Pépé se produisait au National (une salle de théâtre qui a l'air de recevoir de grosses têtes d'affiche) pendant notre séjour. On y est donc allé. Bon, c'était un peu trop sauvage pour nous la seconde partie... Mais la première j'avais des coeurs dans les yeux, que du uku....
    Allez sur son site, c'est par ici, et regardez la vidéo nommée Hawaï... Si c'est pas de la belle chanson toute mignonne ça !! (amis uku, j'ai les tablatures)

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    Son dernier album. Des paroles complètement loufdinques sur de la musique rock. Ça rappelle les trois accords pour ceux qui connaissent.

     

    Yves Beauchemin

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    Autre découverte du séjour (bon c'est peut être la honte d'avouer qu'il s'agit d'une découverte, mais j'assume), c'est Yves Beauchemin et son best-seller Le Matou. Le Bed and Breakfast où on logeait se nommait ainsi le matou.. Bizarre, tiens, la patronne doit aimer les chats. En fait, en regardant dans la bibliothèque, je suis tombée sur ce bouquin, donc, Le Matou, sorti au tout début des années 80 au Québec. Traduit en plus de 20 langues, foultitudes de prix obtenus. En fouillant sur internet, je n'ai trouvé que des commentaires élogieux, ça donne envie de s'y plonger!



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    Non, le ridicule ne tue pas. Pour preuve, ce joli patchwork à la sauce ukulélé, soupoudré d'une sacrée dose de... Je préfère vous laisser trouver le mot! Pour voir ce ukulélécabaret new-yorkais, rendez-vous ici. Il y a du jeunot qui se la raconte et qui beugle dans un micro des refrains rock bien connus, il y a aussi le papi baba avec, s'il vous plaît, chemise hawaîenne et boa assorti, et puis il y a... Tous les autres, à vous de découvrir!
    Je tiens tout de même à signaler qu'on n'est pas forcément ridicule en jouant du ukulélé einh? On ne se met pas tous un casque d'Astérix sur le crâne pour entonner nos refrains préférés... Non, précision importante s'il en est. Je milite pour une pratique responsable du ukulélé... Le militantisme est en ce moment de rigueur. Mobilisons-nous!

    Tiens, en parlant de militantiste et tout le toutim, si vous aussi, vous avez trop souffert de la pratique de la flûte à bec à l'école et que vous portez en vous des séquelles indélébiles, allez par ici . L'artiste Wally milite lui aussi à sa façon. Et là au moins, on se marre!

    wally

    ©Wally


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