Encore un message? Encore une chanchon? Au piano cette fois. Ceux qui ont été faire un tour du côté de Myspace connaissent déjà Amandine. Amandine, la nymphomane des cours de récré. Alors là, temps mort, moment d'explication. Comment ça j'exagère? Comment ça c'est impossible d'avoir le feu aux fesses (sic) à à peine dix ans? Si si, je vous promets. Amandine, c'était ma copine de maternelle et de primaire. Que dis-je, ma super copine, ma "meilleure amie à la vie à la mort". Amandine aimait aimer. Elle avait son harem de garçons gentillets tournoyant autour d'elle. Amandine n'avait aucun souci à donner son coeur et ses baisers d'enfant à plusieurs garçons. Eux n'y voyaient pas vraiment d'inconvénient. Après tout, quand on aime. On dit souvent que les opposés s'attirent. Notre amitié, c'était ça, deux opposés qui s'entendaient pourtant à merveille. Avec le recul, je relativise beaucoup cette relation. Mais quand on a dix ans... Amandine, je l'ai voulu fragile parce que je pense que c'était le cas. Amandine, je l'ai voulu poétique malgré tout. Parce qu'à dix ans, choisit-on vraiment qui on est?

A vos écoutilles!